Il y a des jours où l’on aurait besoin du beau temps surtout pour Paris - Roubaix.
Mais cette classique ne serait pas la même.
Plus nous nous rapprochions de Busignies pour le départ et plus les conditions climatiques se dégradées alors qu’il avait fait très beau les jours précédents. Pas évident non plus de se prononcer sur la tenue adéquate. Toujours est-il qu’après une petite collation matinale, nous nous sommes vite retrouvés dans l’ambiance de Paris - Roubaix.
Humidité de Paris - Roubaix
Heureusement, le vent était plutôt favorable pour nous encourager. Mais les célèbres pavés de Paris - Roubaix sont vite devenus humides, de quoi nous crisper avant d’affronter cette épreuve pour la première fois. Nous pouvions compter sur notre voiture suiveuse conduite périlleusement par notre ange gardien et reporter Émile](http://www.runinlille.fr) sans qui cette journée n’aurait pas pu avoir lieu. Nous le remercions vivement. Premier ravitaillement très apprécié par l’ensemble du peloton, car il ne manquait de rien.
Les crevaisons et les ennuis matériels se multiplièrent en nous épargnant miraculeusement.
Secteurs pavés de Paris - Roubaix
Ils sont variés en difficulté et en fonction de leur longueur. Leur décompte continue jusqu’à Roubaix avec des noms qui font frémir comme la Tranchée d’Arenberg ou le Carrefour de l’Arbre. Les plus connus sont même chronométrés pour donner plus de piquant à cette cyclo et se mesurer aux professionnels.
Roubaix
À l’approche de Roubaix le ciel se dégageait avant de jouir du tour final sur son ancien vélodrome. Récompense ultime avec la médaille et la photo finale sur le podium.
Mais le week-end n’était pas fini pour autant… à suivre) !